Proposer de vrais moyens pour que les victimes puissent être entendues et des sanctions pour les chefs qui se croient tout permis. Un chef n’a pas à frotter ses parties sur le derrière d’une externe au bloc qui ne peut pas bouger, ils n’ont pas à faire des avances aux étudiants ni à donner des surnoms telle que “ma petite salope” etc … Si vous cherchez des témoignages, vous en trouverez des centaines. Commencez par parler à vos futurs collègues.
Cela ne concerne bien sur par uniquement les externes..
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