Pour le moment les services savent qu’ils auront toujours des externes. Avoir beaucoup plus de terrains de stage que d’étudiants encouragerait les services à faire des efforts pour rendre leurs stages plus intéressants (sinon ils risquent de ne plus êtres choisis par les externes). L’idée n’est pas d’inverser le chantage de l’invalidation vers un chantage de l’absence de main d’oeuvre, mais de mettre en place une concurrence saine. De plus, dans les facs qui ont conservé un choix de stage, même le dernier étudiant à choisir aura un vrai choix et ne sera pas contraint de prendre le dernier stage restant.
Par ailleurs serait l’occasion d’ouvrir davantage de terrains de stages dans les CH périphériques ou les établissements privés à but non lucratifs, qui sont encore peu développés mais ont pourtant un joli potentiel !